Comme tout parent qui se respecte vous le dira, les enfants jouent avec tout ce qu'ils trouvent : cailloux, bâtons, boîtes en carton, sacs en papier, ou carcasses d'animaux pour ceux dont le destin risque de s'avérer moins rutilant. Cela étant dit, les enfants civilisés préfèrent jouer avec jouets civilisés, comme des poupées, des blocs de construction, des soldats en plomb (ou plus raisonnablement en plastique), des armes en bois (ou plus raisonnablement en plastique), ou encore des animaux en peluche. À en croire les psychologues, il s'agirait du meilleur moyen pour eux de se préparer à l'âge adulte. Les premières traces d'objets ludiques à destination des enfants remontent à des tombeaux harappéens vieux de 5 000 ans et à des cités-états mésopotamiennes. Avec les Lumières naquit l'idée saugrenue que les enfants étaient censés "profiter" de leur jeunesse ; l'industrie du jeu était née, et ne manqua pas de faire la fortune d'un certain nombre d'inventeurs prêts à tout pour répondre aux besoins de nos chères têtes blondes (et les autres).
Comme tout parent qui se respecte vous le dira, les enfants jouent avec tout ce qu'ils trouvent : cailloux, bâtons, boîtes en carton, sacs en papier, ou carcasses d'animaux pour ceux dont le destin risque de s'avérer moins rutilant. Cela étant dit, les enfants civilisés préfèrent jouer avec jouets civilisés, comme des poupées, des blocs de construction, des soldats en plomb (ou plus raisonnablement en plastique), des armes en bois (ou plus raisonnablement en plastique), ou encore des animaux en peluche. À en croire les psychologues, il s'agirait du meilleur moyen pour eux de se préparer à l'âge adulte. Les premières traces d'objets ludiques à destination des enfants remontent à des tombeaux harappéens vieux de 5 000 ans et à des cités-états mésopotamiennes. Avec les Lumières naquit l'idée saugrenue que les enfants étaient censés "profiter" de leur jeunesse ; l'industrie du jeu était née, et ne manqua pas de faire la fortune d'un certain nombre d'inventeurs prêts à tout pour répondre aux besoins de nos chères têtes blondes (et les autres).