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Stephanie Kwolek

Zhang Heng

Hildegarde de Bingen
Contexte Historique
Considérée par certains comme "la plus grande femme de son temps", Hildegarde était une abbesse bénédictine, une philosophe, une poétesse et compositrice liturgique, une botaniste et phytothérapeute, un esprit universel et une mystique (elle voyait les humains sous la forme "d'étincelles vivantes" de l'amour de Dieu), et finalement une sainte. Elle naquit en 1098, fille d'un chevalier mineur, Hildebert de Bermensheim. Quand elle prétendit avoir des visions, à ses 8 ans, sa famille l'envoya au couvent des bénédictines de Disibodenberg, où elle fut instruite par la "bienheureuse Jutta" pendant les dix années suivantes. À l'âge de 18 ans, elle devint nonne.

Vers 1136, elle fut élue magistrate ("instructrice") par les autres nonnes, et en 1165, elle fonda un monastère à Eibingen, en accord avec la tradition celtique consistant à abriter à la fois des hommes et des femmes (dans des quartiers séparés, bien sûr). Outre ses œuvres spirituelles qui détaillaient ses visions et débattaient de théologie, ses compositions et poèmes musicaux, ses tâches administratives, et sa volumineuse correspondance (plus de 300 lettres subsistent d'elle), elle s'occupait du jardin aromatique et de l'infirmerie du monastère. À mesure qu'elle acquérait des connaissances pratiques sur les diagnostics, les pronostics et les soins, Hildegarde se mit à mélanger les soins physiques avec les applications holistiques centrées sur la "guérison spirituelle". Elle catalogua toutes ses découvertes et pratiques, agrémentées d'une forte dose de théologie, dans deux énormes volumes.

Le premier, "Physica", est constitué de neuf chapitres qui décrivent les propriétés scientifiques et médicinales d'un large éventail de plantes, rochers, poissons, reptiles et mammifères. Le deuxième, "Causae et curae", est une exploration du corps humain, de sa relation avec le monde naturel, et de remèdes pour les divers maux qui l'affligent. Malgré le mysticisme qui les imprégnait, ces œuvres devinrent des références médicales, utilisées bien après sa mort en 1179.
Compétence Exclusive

Effet activé (1 charge)

Le bonus de proximité de foi de ce lieu saint génère aussi de la science.
Foi +100.

PortraitSquare
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Spécificités

Ère médiévale
Savant illustre
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Contexte Historique
Considérée par certains comme "la plus grande femme de son temps", Hildegarde était une abbesse bénédictine, une philosophe, une poétesse et compositrice liturgique, une botaniste et phytothérapeute, un esprit universel et une mystique (elle voyait les humains sous la forme "d'étincelles vivantes" de l'amour de Dieu), et finalement une sainte. Elle naquit en 1098, fille d'un chevalier mineur, Hildebert de Bermensheim. Quand elle prétendit avoir des visions, à ses 8 ans, sa famille l'envoya au couvent des bénédictines de Disibodenberg, où elle fut instruite par la "bienheureuse Jutta" pendant les dix années suivantes. À l'âge de 18 ans, elle devint nonne.

Vers 1136, elle fut élue magistrate ("instructrice") par les autres nonnes, et en 1165, elle fonda un monastère à Eibingen, en accord avec la tradition celtique consistant à abriter à la fois des hommes et des femmes (dans des quartiers séparés, bien sûr). Outre ses œuvres spirituelles qui détaillaient ses visions et débattaient de théologie, ses compositions et poèmes musicaux, ses tâches administratives, et sa volumineuse correspondance (plus de 300 lettres subsistent d'elle), elle s'occupait du jardin aromatique et de l'infirmerie du monastère. À mesure qu'elle acquérait des connaissances pratiques sur les diagnostics, les pronostics et les soins, Hildegarde se mit à mélanger les soins physiques avec les applications holistiques centrées sur la "guérison spirituelle". Elle catalogua toutes ses découvertes et pratiques, agrémentées d'une forte dose de théologie, dans deux énormes volumes.

Le premier, "Physica", est constitué de neuf chapitres qui décrivent les propriétés scientifiques et médicinales d'un large éventail de plantes, rochers, poissons, reptiles et mammifères. Le deuxième, "Causae et curae", est une exploration du corps humain, de sa relation avec le monde naturel, et de remèdes pour les divers maux qui l'affligent. Malgré le mysticisme qui les imprégnait, ces œuvres devinrent des références médicales, utilisées bien après sa mort en 1179.

Spécificités

Ère médiévale
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Le bonus de proximité de foi de ce lieu saint génère aussi de la science.
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