Comme n'importe quel marin vous le dira, les bateaux, ça coule, pour le plus grand plaisir des chasseurs de trésors, des plongeurs et des archéologues sous-marins en quête de gloire et de reliques à remonter à la surface (de préférence en or). La découverte d'une épave est synonyme de pactole : les archéologues s'en servent pour mieux comprendre le passé ; les plongeurs y trouvent de la marchandise ou des pièces ; et les chasseurs de trésors, loin du romantisme échevelé présenté par Hollywood, espèrent s'en enrichir. L'idée d'un trésor perdu abandonné au fond des océans est régulièrement entretenue par des découvertes fabuleuses, comme celle du Nuestra Señora de Atocha (valeur estimée : 450 millions de dollars) ou du navire pirate Whydah Gally (400 millions de dollars à peine). De nos jours, le Saint-Graal des chasseurs d'épaves s'appelle la Flor de la Mar, qui gît quelque part avec à son bord un trésor estimé à près de 2,6 milliards de dollars.
Comme n'importe quel marin vous le dira, les bateaux, ça coule, pour le plus grand plaisir des chasseurs de trésors, des plongeurs et des archéologues sous-marins en quête de gloire et de reliques à remonter à la surface (de préférence en or). La découverte d'une épave est synonyme de pactole : les archéologues s'en servent pour mieux comprendre le passé ; les plongeurs y trouvent de la marchandise ou des pièces ; et les chasseurs de trésors, loin du romantisme échevelé présenté par Hollywood, espèrent s'en enrichir. L'idée d'un trésor perdu abandonné au fond des océans est régulièrement entretenue par des découvertes fabuleuses, comme celle du Nuestra Señora de Atocha (valeur estimée : 450 millions de dollars) ou du navire pirate Whydah Gally (400 millions de dollars à peine). De nos jours, le Saint-Graal des chasseurs d'épaves s'appelle la Flor de la Mar, qui gît quelque part avec à son bord un trésor estimé à près de 2,6 milliards de dollars.